Plus de 2 ans après le premier confinement du printemps 2020, Pune enquête auprès des Franciliens sonde leurs envies et cherche à comprendre l’évolution de leur projet de départ liée à la crise sanitaire. De nouvelles tendances se dessinent. Et quelles régions préférées pour bouger ?
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Même si l’envie de quitter Paris et l’Ile-de-France concerne une part importante de la population francilienne, on note que le projet de départ concerne surtout les actifs. 83% ont entre 25 et 55 ans. Autre info : quitter Paris n’est plus uniquement un projet de famille avec enfants. Même si ce profil reste majoritaire.
Confinements et crise sanitaire ont accéléré les projets de mobilité
Si 74% des Franciliens aux envies d’ailleurs considèrent que la crise a hâté leur projet de départ, 54% d’entre eux confirment que cette envie était déjà présente avant. Et le télétravail se confirme comme levier pérenne au changement de région. Une majorité (46%) souhaite pouvoir télétravailler à 100 % de leur nouveau lieu de vie pour éviter les contraintes des déplacements fréquents. D’autres restent prêts à se déplacer assez régulièrement (2 fois toutes les semaines ou toutes les 2 semaines), mais la proximité de Paris devient alors un critère indispensable pour ne pas trop empiéter sur la qualité de vie.
Vous optez pour des petites ou moyennes villes ou le bord de mer
L’attrait grandissant des petites et moyennes villes : 72% souhaitent vivre dans une ville de moins de 100 000 habitants et nombre d’entre eux privilégient les cités comptant de 10 à 100 000 personnes. Le bord de mer fait toujours l’unanimité, tendance que l’on observe déjà depuis plusieurs années. C’est le critère de choix de tête, pour 69% des répondants. Vient ensuite la proximité de la campagne (36%).
Nouvelle Aquitaine, Bretagne et Pays de la Loire
Le top 3 des régions plébiscitées a quelque peu évolué : même si la Nouvelle-Aquitaine conserve sa place de numéro 1 (38%) et la Bretagne de numéro 2 (33%), la région Pays de La Loire trouve désormais sa place sur le podium (26%).
