200 astuces de Maman travaille pour mères actives : halte à la culpabilisation !

les-200-astuces-de-maman-travaille-marlene-schiappa.jpgVoici un livre bien utile. Il réunit plus de 200 astuces pour aider les mères actives (et rêvons un peu : pourquoi pas les pères actifs) et leurs entourages à mieux concilier travail et maternité. Toutpourchanger.com connaît bien Marlène Schiappa, auteure de ce livre et sait qu’elle parle en connaissance de cause puisqu’elle cumule avec brio (mais pas seule) responsabilités familiales, travail et engagement associatif. Les 10 extraits clés pour celles (et ceux) qui veulent changer de métier ou simplement s’épanouir au travail, sans laisser tomber ni famille ni enfants.

Dans la catégorie Comment déculpabiliser et mieux s’accepter telle qu’on est du livre Les 200 astuces de Maman travaille, Marlène Schiappa propose de créer sa propre définition de la bonne mère. C’est le conseil n°122. Elle pose la question : « Qui a dit qu’une mère parfaite devait être une mère au foyer ? Demandez-vous quelles sont les qualités qui font de vous une bonne mère, listez ce dont vous êtes le plus fière dans l’éducation de vos enfants ou votre vie de mère, et décidez que c’est la définition de la bonne mère, que vous avez réinventée ».
A ce sujet, Barbara Pompili, députée de la Somme et coprésidente du groupe écologiste à l’Assemblée nationale intervient : « Être engagée en politique est évidemment chronophage… ». Son conseil : « Se consacrer à 100 % – sans culpabilité – au moment présent. Il s’agit d’être dans la réalité et d’accepter de ne pas pouvoir être partout en même temps car les journées n’ont que 24 heures. »

Partez sans culpabiliser !

Parmi les conseils de Marlène Schiappa que retient Toutpourchanger.com, dites « oui aux déplacements ! ». Même si cela signifie « passer une nuit à l’extérieur », dites oui ! « Même si c’est pour ailler assister à un forum rébarbatif dans une ville extraordinairement peu glamour, je saisis avec joie l’opportunité de dormir et de profiter d’une salle de basin sans jouet d’enfant, d’un room service qui me livre des plats que je n’ai pas cuisinés », etc. « Plus sérieusement, partir en déplacement, c’est 99 % du temps l’occasion de rencontrer des gens passionnants qu’on ne croiserait pas dans notre ville habituelle, et d’échanger sur nos sujets de prédilection ! Bon aussi pour la carrière. » Et en guise de conclusion, Marlène Schiappa lance : « nos enfants peuvent, ponctuellement, survivre 24 heures sans nous (ndlr : et plus encore même). Si, je vous le jure. »

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